vendredi 15 janvier 2010

Closed Office


Pour le premier texte du genre, je préfère vous le rappeler, histoire de ne pas vous prendre en traitre : l'avertissement affiché avant d'entrer sur le blog n'est pas là pour rien.


Bien habillés, ils avaient prévu d'aller manger avec une amie entre midi et deux et passeraient la chercher à son bureau. Leur amie n'était pas là, mais une stagiaire les prévint qu'elle allait revenir et qu'ils pouvaient l'attendre dans son bureau et précisa afin qu'ils ne s'inquiètent pas qu'elle-même partait déjà manger.

Ils entrèrent donc dans le bureau désert et madame retira son manteau trop chaud pour le bureau climatisé. Elle portait dessous une élégante veste assortie avec une jupe assez stricte et une chemise blanche sans fioriture : "j'ai un entretien dans l'après midi" avait-elle expliqué, "cela ne te dérange pas si je me prépare déjà ?" Sans y penser il avait répondu oui, et c'était bien vêtu afin de ne pas trop faire cloche au restaurant à coté d'elle et son amie.

Son regard se posa sur sa femme qui regardait autour d'elle et s'asseyait à la place de son amie. Secrètement il la trouvait bien jolie sa petite femme, particulièrement ainsi habillée pour son entretient. Cela faisait parti de ses fantasmes, à l'époque où il travaillait dans des bureaux que de faire l'amour dans les locaux avant l'arrivée des collègues. Il resta debout un peu bête espérant que ni son visage ni son début d'érection trahissent ses pensées. Sa femme lui sourit, et il se sentit un peu rougir se pensant découvert.

Elle aussi crut qu'il avait deviné son petit secret et sans plus attendre elle se leva pour aller vers la machine à café afin de masquer sa gêne.

"Mais asseyez-vous je vous en prie." lui dit-elle. Le vouvoiement le surpris et elle sût alors qu'il n'avait pas encore deviné.
"Je vous sers un café ?" ajouta-t-elle alors qu'il restait planté là. Elle s'avança vers son mari, le prit par la main et le fit asseoir derrière le bureau. Puis elle alla chercher le café, et se pencha pour le poser près de lui. D'où il était, il ne put s'empêcher de remarquer que le chemisier avait des boutons largement espacés qui laissait adorablement entrevoir la poitrine pour un observateur de biais comme c'était son cas. Se penchant un peu plus sur son mari, elle déboutonna le col de son chemisier et son cœur se mit à battre fort en voyant l'adorable poitrine de sa femme dans son petit soutien gorge blanc.
Puis sans dire un mot, et avec le sourire, elle dézippa le pantalon de son mari. Elle le regardait dans les yeux, et se délecta de le voir rougir. Sa main se posa sur son sexe à travers le tissus et elle ne put s'empêcher de baisser les yeux, étonnée de le voir déjà si dur. Son regard se replongea dans celui de son mari, et elle libéra le vit prisonnier, pour aussitôt le flatter à pleine main pour le soulager d'être resté captif du sous-vêtement. Contemplant médusé sa femme, son regard perdu dans le sien, il la vit descendre le prendre en bouche. Ses pommettes rosirent et elle ferma les yeux délicieusement gênées alors qu'elle savourait la forme et la fermeté du sexe de son mari sur sa langue. Caressant généreusement de ses mains la base elle prit soin de ne pas négliger les bourses pour que le précieux liquide lui soit offert. Puis elle remonta la main jusqu'au gland en serrant fort et se lança : Après une profonde inspiration, elle glissa le sexe jusqu'au fond de sa gorge et entrepris un va et vient qui coupa le souffle de son mari. Enlaçant le sexe qu'elle aimait tant, elle osa lui dire toute sa tendresse de ce baiser profond, alternant avec des mordillements et des mouvements de langues et de mains pour reprendre son souffle... Elle libéra sa poitrine et la lui posa sur les cuisses sans interrompre sa fellation, levant les yeux pour voir son visage et l'encourager du regard à s'oublier dans sa bouche. Elle voulait boire sa semence, le vider, le traire comme une bête qu'il était mais qu'elle aimait tant et ne lâcha rien, ne lui donnant aucun répit malgré sa mâchoire engourdie. Il était sur un petit nuage, et elle sentit sa culotte se mouiller. Il allait bientôt jouir.
Un dernier aller retour au fond de sa gorge, et il explosa dans sa bouche alors qu'elle enlaçait le gland de sa langue, pressant les bourses pour bien les vider et ne s'arrêtant surtout pas. Elle était folle elle aussi, elle désirait tant le sentir en lui mais elle avait besoin de ses mains pour lui faire la plus belle fellation qu'il ait jamais eu.... Il ne restait rien de lui, il était annihilé mais son sexe était toujours raide tellement l'excitation était forte. Alors, pour son plus grand bonheur à elle, elle retira sa culotte et releva sa jupe avant de s'asseoir sur le joli vit de son mari, et se frotta comme une folle, lui offrant sa poitrine d'habitude si sensible pour qu'il la prenne entre ses lèvres. En bon petit mari il descendit ses mains sur ses fesses pendant ce temps, et la releva pour la prendre sur le bureau. Ayant déjà jouit il savait que le temps lui était compté, mais il voulait faire de son mieux, et cela ne fut pas très difficile : elle était si excitée de l'avoir sentit jouir contre sa langue qu'elle était déjà au bord de point de non retour, et en quelques mouvements de hanches il la sentit se contracter sur son sexe de toute ses forces en gémissant. Il regretta presque d'avoir déjà jouit, car il ne l'avait jamais vu oser gémir ainsi et il savait qu'elle préférait le sentir jouir avec elle. Mais c'était trop tard, et elle ne semblait pas lui en tenir rigueur, s'abandonnant totalement les yeux fermés, serrant sa main sur celle de son mari qui était posé sur son sein. Elle jouissait a en déplacer le bureau et les crayons tombèrent, détail qui les excita encore plus...
... quand elle eut fini de jouir, elle embrassa une dernière fois le sexe de son mari et le rangea, avant de se rhabiller elle aussi, mais en lui donnant sa culotte et elle lui souffla à l'oreille : "je n'ai pas d'entretien cet après midi, tu peux la garder..." elle lui sourit et l'embrassa avant de l'attirer hors du bureau pour rejoindre son amie qui les attendaient comme convenu, au restaurant...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire